Vous serez alerté(e) par email dès qu'un article sera publié par la rédaction sur :
Environnement (écologie, climat, pollution, etc.)
Vous pouvez à tout moment supprimer votre abonnement dans votre compte service public.fr .
Choisissez vos sujets d'actualité préférés dans Mes alertes.
Être alerté(e) en cas de changement
Ce sujet vous intéresse ? Connectez-vous à votre compte et recevez une alerte par email dès qu'un article sera publié par la rédaction sur :
Environnement (écologie, climat, pollution, etc.)
Les repas servis en restauration collective devront, d'ici le 1er janvier 2022, compter 50 % de produits alimentaires durables de qualité dont au moins 20 % de produits issus de l'agriculture biologique. C'est ce que prévoit en effet l'article 24 de la loi dite EGalim du 30 octobre 2018. Un décret publié au Journal officiel du 24 avril 2019 vient pour sa part apporter notamment un certain nombre de précisions sur les catégories de produits durables de qualité.
Les signes ou mentions pris en compte concernant la qualité des produits alimentaires ou la préservation de l'environnement sont :
le label rouge ;
l'appellation d'origine ;
l'indication géographique ;
la spécialité traditionnelle garantie ;
la mention « issu d'une exploitation de haute valeur environnementale » ;
la mention « fermier » ou « produit de la ferme » ou « produit à la ferme », pour les produits pour lesquels existe une définition réglementaire des conditions de production.
À noter : En France, la restauration collective sert chaque année 3,7 milliards de repas.
À savoir : Les proportion de 50 % de produits alimentaires durables de qualité dont au moins 20 % de produits issus de l'agriculture biologique servis dans les repas par les restaurants collectifs correspondent à la valeur hors taxe des achats de produits remplissant les conditions exigées rapportée à la valeur totale hors taxe des achats des produits destinés à entrer dans la composition des repas servis pour chaque restaurant collectif.